Há quem do Tejo só veja
o além porque é distância.
Mas quem de Além Tejo almeja
um sabor, uma fragrância,
estando aquém ou além verseja,
do Alentejo a substância.
Há quem do Tejo só veja
o além porque é distância.
Mas quem de Além Tejo almeja
um sabor, uma fragrância,
estando aquém ou além verseja,
do Alentejo a substância.
Ainda me aventuro a elaborar um último post sobre "Uma Aldeia Francesa".
O que publiquei no início da série sobre os personagens, estruturado a partir do site da wikipedia e do que já vira até ao momento, está algo incompleto, contudo é bastante visualizado.
Neste post, apresento um excerto do site já referido, respeitante aos personagens. Não me atrevo já a traduzi-lo, também não tenho muito tempo e as minhas traduções são o que são e, nalguns casos, deixam muito a desejar.
Atrevo-me a deixar também o link com a versão para português, mediante o "tradutor google".
Leia o original em francês, se souber e compare com a "tradução" do conversor referido.
Mesmo que não consiga ler no original em francês, divirta-se a ler a tradução "google".
Obrigado pela sua atenção e paciência por me ler e não deixe de o fazer só pelo facto de não ir continuar a escrever sobre a série. Pelo menos sobre a que está a ser transmitida: "O Paraíso", baseada em "Au Bonheur des Dames!"
E até pode ser que escreva, sabe-se lá...
Sobre o que ainda quero mandar alguns bitaites será sobre o Br.Exit e sobre o "Euro".
Segue-se então o texto sobre os Personagens, alguns documentados por imagens.
"Les Larcher"
Daniel Larcher (Robin Renucci) : médecin de campagne, premier adjoint puis maire de Villeneuve après la disparition du maire précédent et époux d'Hortense(saisons 1 à 4); père adoptif de Tequiero ; frère de Marcel ; oncle de Gustave. Son père veuf décède en 1941. (56 épisodes)
Hortense Larcher, née Laude (Audrey Fleurot) : infirmière, épouse de Daniel(saisons 1 à 4) ; mère adoptive de Tequiero ; maîtresse de Marchetti (saison 2) ;maîtresse de Müller (saisons 3 à 6) ; tante de Gustave. (53 épisodes)
Tequiero Larcher (Lucas Tondelier-Roth,Tom Tondelier-Roth) : fils adoptif de Daniel et Hortense. Sa mère meurt en juin 1940. Son père apparaît en 1940 pour reprendre son enfant mais, avec la complicité de Jean Marchetti, Daniel et Hortense le gardent et l'adoptent officiellement. (Son père réapparaît en 1943 sous les verrous dans la même cellule que Marcel, il est fusillé peu après son incarcération. En septembre 1944 il est envoyé chez la mère d'Hortense).
Maria (Emmanuelle Michelet) : bonne des Larcher jusqu'en 1941(il n'est pas expliqué pourquoi elle est partie). (4 épisodes)
Sarah Meyer (Laura Stainkrycer), juive d'origine tchécoslovaque. Employée des Schwartz (renvoyée parMme Schwartz) puis des Larcher. Maîtresse de Daniel(depuis la saison 4) (elle est arrêtée par la milice française avec Ezechiel (Denis Sebbah), un juif recherché que Daniel et elle cachaient durant la saison 5). (32 épisodes)
Marcel Larcher (Fabrizio Rongione) : veuf de Micheline ; frère de Daniel et père de Gustave. Employé de la scierie. Amant de Suzanne, militant local du PC clandestin. Son père veuf décède en 1941(meurt exécuté sur ordre de Müller à la fin de la saison 5). (40 épisodes)
Micheline Larcher (Judith Henry) : femme de Marcel et mère de Gustave(décède d'une longue maladie au milieu de la saison 1). (3 épisodes)
Gustave Larcher (Maxim Driesen) : fils de Marcel et de Micheline. Neveu de Daniel et Hortense.(38 épisodes)
Théophile Larcher (Roger Dumas) : père de Daniel et Marcel Larcher, veuf, fervent patriote convaincu, il n'apprécie pas les idées communistes de son fils cadet(meurt de vieillesse en 1941 au début de la saison 3). (1 épisode)
Les Schwartz
Raymond Schwartz (Thierry Godard) : patron de la scierie, il fournit les Allemands en matériaux ; époux de Jeannine(saisons 1 à 4) ; père de Marceau ; amant de Marie Germain (saisons 1 à 3 et 5) ; veuf de Joséphine (saison 5) et donc beau-frère d'Antoine (depuis la saison 5) ; entre dans la Résistance (à partir de la saison 5) (47 épisodes)
Jeannine Schwartz (Emmanuelle Bach) : épouse de Raymond(saisons 1 à 4) ; mère de Marceau ; épouse du nouveau maire Philippe Chassagne (saison 5) ; chef de l'entreprise « Schwartz Béton ». (40 épisodes)
Marceau Schwartz (Max Renaudin) : fils de Raymond et de Jeannine(part à Paris en saison 4 chez son grand-père maternel). (16 épisodes)
Joséphine Schwartz (Nathalie Bienaimé) : employée des Schwartz(saisons 3 et 4) ; épouse de Raymond Schwarz (saison 5) (se défenestre en saison 5 pour protéger son frère). (12 épisodes)
Antoine (Martin Loizillon) : beau-frère de Raymond Schwartz(saison 5). C’est le petit frère de la seconde épouse de celui-ci, Joséphine. Il est réfractaire au STO, se sauve dans le maquis où il prend la tête d’un groupe de réfractaires et devient le chef du maquis Antoine (s'engage dans l'armée à la suite de la libération de Villeneuve, en 1944) (17 épisodes)
Les Germain
Lorrain Germain (Dan Herzberg) : métayer des Schwartz ; époux de Marie(saisons 1 et 2) ; père de Raoul et de Justin (décède en saison 2 tué par sa femme). (8 épisodes)
Marie Germain (Nade Dieu) : épouse de Lorrain(saisons 1 et 2) ; mère de Raoul. Elle fait partie de la résistance gaulliste avec Albert Crémieux, Jules Bériot entre autres. Elle devient chef d’un mouvement de résistance. Maitresse de Raymond Schwartz (saisons 1,2, 5 et 6) (meurt pendue par Marchetti en 1944). (46 épisodes)
Raoul Germain (Thomas Mialon) : fils aîné de Marie et Lorrain(arrêté par les Allemands en fin de saison 4 et libéré par Antoine et Raymond Schwartz lors de la saison 5). (14 épisodes)
Justin Germain (Julien Labbé) : fils cadet de Marie et Lorrain(on ne le voit que dans la saison 3 lorsqu'il est réfugié avec sa mère et son frère chez Henri De Kervern et Judith Morange, il est ensuite envoyé dans la famille pour rester à l'abri). (4 épisodes)
Les Crémieux
Albert Crémieux (Laurent Bateau) : industriel juif qui vend son entreprise à Raymond Schwartz et s'engage dans la Résistance aux côtés de Marie, Jules Bériot et Vernet(meurt en saison 4 lors de l'action menée par la police de Vichy contre son réseau). (18 épisodes)
Anna Crémieux (Hélène Seuzaret) : femme d'Albert ; juive autrichienne(envoyée à Drancy lors de la saison 4 et probablement assassinée à l'Est) (7 épisodes)
Hélène Crémieux (Lucie Bonzon) : fille d'Anna et Albert(envoyée à Drancy lors de la saison 4 et probablement assassinée à l'Est) (10 épisodes)
Au commissariat
Henri de Kervern (Patrick Descamps) : compagnon de Judith Morhange(quitte Villeneuve en saison 4) ; ancien commissaire de police de Villeneuve (saisons 1 à 2) ; s'engage dans la Résistance (saison 2) ; subalterne de Marchetti (saison 3) ; apparaît au chevet de son épouse Judith (saison 4) ; préfet de De Gaulle à Villeneuve en 1944 (saison 6). (Est blessé par les miliciens et sauvé par transfusion par Daniel à l'aide de Kurt , il est ensuite convalescent et obligé de ne pas marcher pendant 3 mois). (22 épisodes)
Jean Marchetti (Nicolas Gob) : agent desRG en charge de le la traque des communistes (saison 1), commissaire de police de Villeneuve puis chef de la police, collaborateur. Amant d’Hortense Larcher puis de Rita de Witte, une juive qu’il cache. Elle aura un enfant de lui : David. Il est arrêté par la police française et transfété à Dijon pour y être jugé fin de saison 6.(46 épisodes)
Rita de Witte (Axelle Maricq) : maîtresse de Jean Marchetti et enceinte de lui. Juive, sa mère (Annie Mercier) est internée à Drancy à cause de Marchetti(fuit en Suisse à la fin de la saison 4 après la découverte du rôle de son amant, est expulsée et revient en saison 6 , elle part en Palestine en fin de saison 6 avec Ezechiel , sa fille et David après l'arrestation de Jean). (12 épisodes)
Antoine Loriot (Olivier Soler) : policier, bras droit de Marchetti. Il devient chef de la Police de Villeneuve en fin de saison 6.(25 épisodes)
Vernet (Olivier Ythier) : policier résistant. Janvier et ses miliciens les assassinent, lui, sa femme et leurs deux jeunes enfants, en août 1944(épisode 1, saison 6).(16 épisodes)
Delage (Bertrand Constant) : policier résistant, agent double entre la Résistance et le commissariat. On ne sait pas ce qu'il advient de lui après la saison 5.(14 épisodes)
À l'école
Lucienne Borderie (Marie Kremer) : institutrice, violée par Heinrich Müller, le chef de la Gestapo, maîtresse de Kurt, un soldat allemand(saisons 1 à 3) avec qui elle a un enfant ; épouse Jules Bériot après la mutation de Kurt sur le front de l’Est (depuis la saison 4). (45 épisodes)
Judith Morhange (Nathalie Cerda) : directrice de l'école ayant perdu son travail parce qu'elle est juive ; puis compagne du commissaire Henri de Kervern, envoyée à Drancy ; elle échappe à la déportation grâce à l'intervention du sous-préfet Servier, elle revient à Villeneuve, mourante(décède en saison 4). (28 épisodes)
Jules Bériot (François Loriquet) : Il succède à Judith Morhange à la direction de l'école et épouse Lucienne Borderie(depuis la saison 4) ; Franc-maçon et opposé au régime de Vichy, il devient responsable de la Résistance à Villeneuve. Il devient sous-préfet de Villeneuve en septembre 1944 en remplacement de DeKervern , convalescent.(38 épisodes)
Marguerite (Amandine Dewasmes) : nouveau professeur de chant de l'école de Villeneuve ; homosexuelle ; courrier de la Résistance qu'elle dénonce sous la pression(tuée par Vernet avec la complicité de Lucienne en fin de saison 5). (12 épisodes)
Résistants communistes et gaullistes
Suzanne Richard (Constance Dollé) : maîtresse de Marcel ; agent des Postes et militante socialiste(saison 1), rejoint le PC clandestin. (31 épisodes)
Edmond (Antoine Mathieu) : cadre local du PC clandestin ; stalinien.(26 épisodes)
Max (Yann Goven) : militant local du PC clandestin ; proche de Marcel.(porté disparu après l'attaque contre le domicile du chef de la milice, probablement abattu par les soldats allemands dans la saison 6). (25 épisodes)
Natacha (Armelle Deutsch) : prostituée engagée dans la résistance(tuée par Lorrain à la fin de la saison 2). (5 épisodes)
Émilie (Maëva Pasquali) : ménagère révoltée ; finit par entrer au PC(déportée et probablement exécutée en saison 3). (5 épisodes)
Madame Berthe (Judith Rémy) : patronne de la maison close locale ; proche d'Heinrich Müller(saison 2) et des communistes (saison 4). (5 épisodes)
Yvon (Cyril Descours) : résistant qui rejoint le PC local(tué par Muller en saison 3). (6 épisodes)
Victor Bruller (Laurent Manzoni) : cadre du réseau gaulliste(tué par Morel en saison 4). (5 épisodes)
Vincent (Jérôme Robart) : transmetteur radio(meurt lors de l'action menée par la police de Vichy contre son réseau en saison 4). (5 épisodes)
Claude (Alexandre Hamidi) : compagnon de fortune d'Antoine. Il a étudié l'art dramatique à Paris(tué - selon Antoine - à la fin de la saison 5). (11 épisodes)
Anselme (Bernard Blancan) : paysan membre du réseau de résistance de Marie Germain. Devient chef du réseau après la mort de cette dernière.(14 épisodes)
Habitants de Villeneuve
Ezechiel (Denis Sebbah) : juif tentant de fuir en Suisse, perd son fils ;(saison 2),retenu à l'école avec d'autres juifs,perd sa femme qui se suicide et fuit avec sa fille (saison 4), revient à Villeneuve et caché par Daniel Larcher puis arrêté par la milice avec Sarah Meyer (saison 5). Parvenant à s'échapper (on ignore comment) il revient à Villeneuve et rencontre Rita. (16 épisodes)
Eliane (Léa Betremieux) : amoureuse de Raoul, son père est quincaillier(saison 4), maîtresse de Marchetti et indic à la scierie Schwartz, tuée par Antoine (saison 5) (7 épisodes)
Inès (Annick Boyer) : secrétaire de Raymond à la scierie(quitte en saison 4 la scierie pour travailler en Allemagne). (9 épisodes)
Autorités françaises
Servier (Cyril Couton) : sous-préfet pétainiste de Villeneuve.(37 épisodes)
Philippe Chassagne (Philippe Résimont) : nouveau maire collaborateur ; mari de Jeannine(meurt fusillé sur ordre de Müller à la fin de la saison 5). (16 épisodes)
Morel (Pascal Casanova) : sous-brigadier, nommé brigadier en remplacement de Dupas, gendarme collaborateur et pétainiste convaincu(meurt lors de l'opération, tué par Vincent en saison 4). (7 épisodes)
Dupas (Bruno Rochette) : brigadier de gendarmerie chargé de l'arrestation des Juifs, rétrogradé après l'évasion de l'un d'eux(saison 4). (3 épisodes)
Autorités allemandes
Helmut von Ritter (Götz Burger) : Kreiskommandant de Villeneuve(muté sur le front de l'Est à la fin de la saison 2).
Heinrich Müller (Richard Sammel) : chef de la Gestapo(saison 2). Il devient l'amant d'Hortense. Muté sur le front de l'Est (fin saison 3), il revient ensuite à Villeneuve comme chef de la police allemande pour l'Est de la France (saisons 4 et 5), déserte pour fuir avec Hortense avant d'être arrêté par les américains (saison 6). (39 épisodes)
Kollwitz (Peter Bonke) : Kreiskommandant de Villeneuve en remplacement de Von Ritter(saison 3). Il est remplacé par Schneider (saison 5). (12 épisodes)
Kurt (Samuel Theis) : amant de Lucienne et père biologique de sa fille(muté sur le front russe durant la saison 3, de retour à Villeneuve en saison 6, grièvement brûlé, tué par Bériot, ivre). (14 épisodes)
Ludwig (Jochen Hägele) : officier d'ordonnance d'Heinrich Müller (Capturé par la résistance à la fin de la saison 6).(13 épisodes)
Schneider (Christopher Buchholz) : Kreiskommandant de Villeneuve en remplacement de Kollwitz(saison 5). Il quitte la ville avec la garnison pour fuir l'avance des Alliés (meurt abattu par Marchetti afin de sauver Rita et son enfant que l'officier allemand s'apprêtait à faire fusiller avec d'autres juifs dans la saison 6). (8 épisodes)
Krüger (Stefan Konarske) : Chef de la division dePanzers qui entre dans Villeneuve après le départ de la garnison allemande et qui fuit l'avance des troupes Alliés. Kurt se trouve dans son unité, il quitte Villeneuve après avoir soigné ses blessés. (3 épisodes)
Milice française
André Janvier (Bruno Blairet) : chef de la Milice de Villeneuve. Fasciste convaincu et psychopathe sadique (blessé mortellement par Antoine en saison 6).
Alain Blanchon (Bruno Fleury) : commissaire de police de Villeneuve(saison 5), second puis chef de la Milice (saison 6) à la mort de Janvier (il meurt fusillé par Suzanne en même temps que ses camarades miliciens en fin de saison 6).
Alban (Fabrice Richert) : réfractaire au STO(saison 5), se fait arrêter par Marchetti et est reversé dans la Milice sous les ordres de Janvier, son parrain qui l'a pistonné (il meurt pendu par Raoul en septembre 1944 en fin de saison 6).
Xavier (Théo Cholbi) : jeune milicien, fasciste convaincu (il est probablement fusillé peu de temps avant ses camarades après avoir tenté de faire sauter l'école de Villeneuve en septembre 1944 en fin de saison 6).
Autorités américaines
Bridgewater (John-Christian Bateman) : capitaine américain auquel Marie demande de faire mouvement vers Villeneuve pour faire fuir les Allemands et empêcher une répression.(saison 6). (3 épisodes)
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Claude e Antoine, inicialmente refratários, posteriormente envolvidos na Resistência.
“Jean Marchetti esconde-se em casa de Rita. Os problemas do quotidiano agravam-se: abastecimento, saúde, alojamento… É a penúria.” (…)
Os aliados de ontem tornam-se, hoje, adversários, melhor, inimigos, dados os métodos que utilizam para conquistar o poder!
Faltam bens essenciais, falta de tudo, em Villeneuve. A população revolta-se, que onde há fome... fazem-se pilhagens. Reina a desordem. As esperanças associadas à Libertação esvaem-se, por entre a incapacidade de a República dar de comer a quem tem fome. Há quem tenha saudades de Vichy!
As autoridades na pessoa do prefeito, Bériot; do chefe da polícia, Antoine; do presidente do CDL, Edmond, tentam dar resposta às múltiplas necessidades, mas onde não há pão, não há mantimentos para distribuir...
Também, entre eles, a baixa política insere-se ignominiosamente, insidiosa, da pior maneira.
As gentes envolvem-se à pancada por um pedaço de pão.
(E não posso deixar de reportar para o que se passa ainda e atualmente. E já que estamos em França, onde atualmente decorre o “Euro”, para aquela cena de ignomínia dos adeptos (?) ingleses a atirarem moedas a crianças pobres!!! E vão estes... que chamar-lhes (?), votar sobre a permanência ou saída do Reino Unido da União Europeia!!)
E à pancada andou Ezechiel Cohen, por causa do abastecimento e nada trouxe, além da cara esmurrada.
“Apertamos o cinto”, lhe disse Rita.
“Penso cada vez mais na Palestina” (E sobre este assunto também há tanto para inferir...)
E Ezechiel falou-lhe das vantagens de seguirem como família, apesar de Rita não ter papéis... Que em Lyon preparam idas para esse território.
E Rita chamou Jean: “Jean, vem, por favor!”
E apresentou-os. “Acho que já se conhecem”
Jean, vem do hebraico, de Yonah: “Deus tem piedade!” Comentou Ezechiel.
Terá?! Pergunto eu. Merece piedade?! Obterá o perdão?!
Suzanne, agora desamparada de amor, que “o gaullista” a deixou para outra da mesma geração, vagueia pela rua e dirige-se à sede do CDL, onde houvera uma invasão da turbamulta.
Edmond arrumava as mesas e cadeiras derrubadas...
Falaram da omissão da vida privada, no contexto do partido... (Onde e sobre quem tanto essa situação foi sonegada durante décadas, melhor, durante a vida inteira, de um certo e emblemático e carismático personagem da vida política portuguesa?)
Edmond morrera-lhe a mulher há dois meses, nada dissera. “Morreu por um ideal.”
“E tu, que queres? Lamentares-te ou bateres-te por ideais?” Edmond interpolou a militante Suzanne.
“O partido quer conquistar a câmara. Derrotar Bériot.”
E Edmond encomendou, a Suzanne, que soubesse se nos arquivos da esquadra haveria alguma coisa que tramasse Bériot e a mulher, que, em tempos, se falara de uma paixoneta desta por um boche. (Paixoneta!)
Suzanne tinha, na polícia, dois “conhecimentos” chave. O chefe, o “gaullista” Antoine e Loriot, (como classificá-lo?), novamente membro da esquadra. Ambos também suas paixões ou paixonetas.
E Suzanne, à partida, excluiu Antoine, não iria manipulá-lo e atacou Loriot, o “bigode mais jeitoso de Villeneuve”!
Inicialmente o polícia retraiu-se, não confiava totalmente nela.
Lembra-se, caro/a leitor/a, que foi devido a esse relacionamento que Suzanne foi considerada traidora, no contexto da célula do partido?
Onde isso já vai, me dirá.
Mas há lá homem que resista ao elogio do bigode, para mais provindo de uma cara bonita e charmosa?!
E Loriot comprometeu-se. “A troco de nada. Em nome dos velhos tempos.”
Em troco de nada, Loriot, que já anteriormente informara de que Antoine andava de amores com a irmã de Alban, eu pensei que ela já saberia... Loriot, repito, a troco de nada sempre trouxe alguma coisa.
Em primeiro lugar, que ele é um senhor galante, ofereceu-lhe um ramo de flores. Lembrando velhos tempos ou preparando os novos, que a rapariga anda desamparada.
E o pretendido. Nada sobre Bériot, vasculhados os arquivos de 41, mas algo sobre outra pessoa. Ainda melhor!
E Suzanne entregou o documento a Edmond, que sorriu, cinicamente, como é habitual no seu personagem.
Lembremos que este documento será, em princípio, para tramar Bériot.
Este, como também já referimos, convidara o médico, Daniel Larcher, para colaborar com ele na prefeitura, sob condições mutuamente estabelecidas.
Encarregara-o de inventariar situações de resolução de três problemáticas prementes na Cidade: Saúde, Alojamento, Alimentação.
(Lembram-se da canção “Liberdade” de Sérgio Godinho?! “Casa, Pão, ...”
E estas prioridades também foram algumas das emblemáticas após o 25 de Abril.)
Voltemos à realidade ficcional.
Larcher desempenhou as suas funções muitíssimo bem, apresentando as soluções encontradas, em reunião com o prefeito e o secretário, Hector.
Sobre a Saúde, com recurso às freiras do convento, que haviam concordado e disponibilizado os seus meios; sobre Habitação, também explicitou soluções concretas e sobre Alimentação, não trouxe ainda dados precisos, mas propôs reunir-se com Servier, que sabe, de certeza, onde buscar víveres.
Dito e feito, reunido com o dito cujo, este concordou em dizer-lhe onde achar alimentos, na condição de lhe trazerem um salvo-conduto para emigrar para a Suíça e um bom jantar para a mesa.
(É caso, para dizer: Que mamão! Que foi o que ele fez em toda a ocupação, mamar, lamber botas, servir e servir-se.)
E, em “reunião de prefeitura”, a que compareciam também membros do CDL, presidido por Edmond, que fora encarregado por Bériot de chefiar a questão do abastecimento da cidade, o prefeito contava apresentar Larcher, e as suas pesquisas, como um trunfo.
Enganou-se. Mas lá iremos.
Antes, julgo que em reunião anterior, em que estiveram ambos os chefes das fações, agora oposicionistas; Bériot, gaulista e Edmond, comunista, atiraram-se “mimos elogiosos” um ao outro, sob os auspícios de um retrato do General De Gaulle.
Edmond, “elogiando” Bériot, cuja polícia, chefiada por Antoine, libertava colaboracionistas, referia-se à chata da Jeannine; em vez de prendê-los, que o “carniceiro” Marchetti ainda andava a monte.
Bériot, por sua vez, mimoseava Edmond, cujo abastecimento, de que era o delegado, era uma desgraça.
Andavam numa inventariação fictícia das necessidades da população, quando não havia nada para distribuir, aproveitando para propor às pessoas a adesão a um determinado partido, cujo nome não disse.
Igualmente defendeu Loriot, pela sua competência; Edmond não o saberia ainda, Bériot provará, sem o saber, do veneno dessa mesma eficiência.
Também Daniel Larcher teve direito a ser defendido, e concordo inteiramente, pela sua “Generosidade e sentido de Humanidade”.
E, voltando à reunião de prefeitura em que Bériot apresentou Larcher como colaborador, elogiando a sua competência no encontrar de soluções, para três problemas prementes na Cidade: Abastecimento, Alojamento, Saúde.
Edmond, cínico, questionou-o:
- “Confia nele?!”
E lançou a bomba.
“A partir de um documento que, por acaso, nos veio parar às mãos, sabemos que Daniel Larcher era, em 1943, informador da polícia alemã!”
E apresentou o documento assinado por Heinrich Muller.
Lembramo-nos perfeitamente dessa situação de quando o médico estava preso juntamente com o irmão, Marcel...
Que acha senhor/a leitor/a ?!
Neste caso, eu opino sem quaisquer dúvidas ou hesitações.
Foi uma verdadeira “sacanagem”!
E foi um lavar de roupa suja e atirar de lama... sobre um ser humano intrinsecamente bom, apesar das contradições inerentes ao comportamento de qualquer homem ou mulher, para mais em tempos tão complicados.
Ma é assim a política, para mais a baixa política!
E o médico foi logo ali despedido, que Bériot pode, quer e manda, e enviado para prisão domiciliária, a juntar-se à mulher Hortense, que foi a alma dos seus pecados. Mas também a razão de estar vivo.
Que as vivências, os comportamentos, as atitudes dos diversos personagens são multifacetadas.
Como, aliás, de todo e qualquer Ser Humano.
Nem sempre preto é preto, nem branco é branco!
Veja-se que Daniel, apesar de o considerarmos um homem bom, ainda rematou:
“Vou contar quem é o seu hóspede.
O hóspede já se foi.” Retorquiu o prefeito.
(Afinal não terá sido este médico que passou a certidão de óbito, como eu julgara.)
E ainda há mais para contar?
Já referi que Jeannine fora presa pela “purga”, chefiada por Anselme, que queria saber do dinheiro que ela ganhara a reparar tanques dos boches e para o ir buscar, para poderem comprar alimentos para os necessitados.
E que a queriam julgar e mais tornas e deixas nestes casos.
Mas havia ordens superiores de Bériot, sempre ele, de que ela fosse recuperada e dessa ordem e execução se encarregaram Antoine e Loriot.
(E foi uma verdadeira cena de duelo, de filme de “cow-boys”, a que só faltou o herói, Antoine, ir montado no seu corcel branco.
Esclareça-se, que, à data, este género de filmes ainda não dominava o mercado, nem sei se já teria surgido, nem a filmografia americana ainda era dominante, nem sequer a indústria cinematográfica atingira a importância que viria a alcançar nas décadas seguintes, no pós-guerra.)
Certo é que Antoine libertou Jeannine!
E sobre outro verdadeiro colaboracionista e verdadeiro criminoso, per si, que a guerra não justificava as suas atitudes criminais, nem as ações que praticou, sobre o “carniceiro” quero ainda falar.
A cena final em que o “miúdo”, Antoine, que Loriot julgara enganar, voltou à casa onde o criminoso, Marchetti, se acoitava e os apanhou, a ambos, a conversar, paradoxalmente Jean com o filho David ao colo, foi uma cena antológica de filme de ação.
E aguardemos o próximo e último episódio desta sexta temporada, certamente o derradeiro da série, porque a sétima provavelmente nunca mais aparecerá, nem sei se já foi concluída a sua realização, nem se já passou em França.
E, ao que me parece, a RTP2 retorna a outra série já apresentada anteriormente.
Episódio 10 – “La Loi du Désir” – “A Lei do Desejo”
Setembro de 1944
“Dez milicianos são executados, no fim de um processo falseado. Bériot propõe a Antoine, que encetou uma relação com a irmã de um miliciano, de se tornar chefe da polícia.” (…)
O Rescaldo da Festa
A festa foi de arromba. Deu para beber, dançar, namorar, curtir, não sei se este termo já seria utilizado na época. Muito menos o outro, atualmente muito usado entre as camadas jovens, para significar o que também deu para fazer.
Antoine, já informámos, chegou, finalmente, aos finalmentes! Com Geneviéve, que é assim que se chama a moça, Genoveva, em português, ou Veva ou Vevinha, para ser mais querida!
Pelo caminho, pôde observar no jipe americano, um militar numa “à americana”, com uma francesa. Talvez tivesse ficado mais motivado e o bom vinho também terá ajudado, para além, ou primordialmente, de “a lei do desejo”.
O berbicacho foi quando Veva o informou que era irmã de Alban.
“Após o Conselho de Guerra, se te vir por estas paragens, mandar-te-ei prender”, ameaçou Antoine.
E decorreu o falso julgamento.
Previamente discutiram quem haveriam de condenar ou não à Morte!
Daniel Larcher conhecedor de que Bériot já havia encomendado catorze caixões, através de Jeannine, denunciou o facto na própria sessão e abandonou a defesa.
Anselme, prático, mas também idealista e sonhador e face ao tipo de França que estavam a construir, oposta a todos os seus ideais, também abandonou o “tribunal” improvisado.
Foi prontamente substituído por Antoine, que ficou a presidir. Outro funcionário, nomeado por Bériot substituiu aquele como Juiz.
Numa interrupção realizada, foram definidos os que iriam ser condenados à Morte e os que iriam ser remetidos para futuro julgamento a realizar em Dijon.
Nalguns não havia dúvidas. Haviam entrado há pouquíssimo tempo na milícia.
Relativamente a Alban havia hesitações. Matara as duas crianças, mas salvara Antoine e Suzanne de morte certa. Fora amigo de Antoine.
Também se confessara e obtivera o perdão.
E era irmão de Genoveva. (Mas que tem esse facto de relevante, dir-me-ão...)
Havendo dúvidas entre os juízes, sobre este último caso, ficou decidido que o veredicto final seria de Antoine, o presidente do conselho de guerra!
E caríssima leitora, caríssimo leitor, que acha que Antoine decidiu?!
(...)
Pois, precisamente, Alban foi um dos milicianos que foi remetido para futuro julgamento.
Voltamos atrás.
Na primeira reunião preparatória do conselho de guerra, realizada em casa de Bériot, quando definiam quem constituiria o pelotão de fuzilamento, ouviu-se um grito lancinante proveniente do andar de cima.
“É a minha mulher, Lucienne!”, informou Bériot.
E dirigiu-se ao quarto onde ela se encontrava, aquele em que convalescia Kurt, que ela, inesperadamente, acabara de encontrar morto!
Lucienne estava destroçada! (...)
“Quer que a deixe sozinha para que possa velá-lo tranquilamente?” “Os meus pensamentos estão consigo.”
Nem mais nem menos, que este Bériot saiu melhor que a encomenda.
Mais tarde, velariam o defunto.
E definiriam o nome a atribuir-lhe, que não podiam designá-lo com o nome próprio, que era alemão: Kurt Wagner.
Analisando significados e semelhanças linguísticas e afinidades familiares, consensualmente, batizaram-no com um nome francês: Étienne Charron.
Drº Daniel Larcher preencherá, (?) a certidão de óbito, na expetativa de aliviar a pena da sua amada (?) Hortense.
Anteriormente, já Bériot o tentara aliciar para trabalharem juntos na recuperação de Villeneuve!
“É um dos poucos com atitudes humanistas!”
“Sou colaboracionista!”
E os milicianos condenados à morte são colocados nos postes de fuzilamento.
E Antoine, nomeado chefe da polícia, dirige o pelotão. Mas concede, como é de lei, a concretização de um último desejo aos condenados.
E o chefe, Blanchon, provocatoriamente, começou a cantar o hino dos milicianos (Chant des Cohortes?), sendo seguido por todos os outros.
E, não sei como nem porquê, não conheço assim tanto da História de França, aquela cantilena teve um efeito aniquilador em Antoine e em todo o pelotão, que se tolheram em disparar.
E foi preciso Suzanne agir, que é uma mulher de armas, assumir o comando do pelotão, ordenar que disparassem, ela própria ser a primeira a fazê-lo, sendo seguida pelos restantes.
Finalmente os corpos ficaram murchos na base dos postes!
E já que pegámos em Suzanne...
Lembrar-nos-emos que, no episódio anterior, ela fora visitar a filha, obrigações de mãe, abandonando o baile e Antoine, que aproveitou a liberdade concedida e conquistou a sua própria liberdade e autonomia.
Ao regressar, perguntou por ele.
E, no conselho de guerra, vendo novamente a tal moça, que agora sabemos chamar-se Geneviéve, ou Genoveva, se preferir, irmã de Alban, a encarar Antoine e o constrangimento deste, questionou-o: “Conhece-la?”.
“Vou ter que lhe dizer que já tens dono!”
(Mal sabia Suzanne, que a dona já era outra.)
Foi visitar a sepultura do seu amado defunto, Marcel, com ele falando sobre o novo mundo em que ele vaguearia. Moças? Reuniões de célula?!
Surgiu uma linda raposa vermelha. Só faltou um Príncipe Encantado, que o supostamente dela arranjara nova dona.
E foi esta dona, Geneviéve, que foi visitar o novo chefe da polícia, Antoine, para lhe agradecer de Alban.
Antoine mandou-a voltar um ou dois anos mais tarde.
Mas a moça estava cheia de pressa e houve uma conversa privada no gabinete do chefe.
E beijos, também. Que ela é decidida!
E Antoine aconselhou-a a esconder-se durante algumas semanas que “atualmente ser miúda de boche e irmã de miliciano não é boa coisa”.
Mas, pelos vistos, a rapariga não foi precavida, nem seguiu a sugestão do amado, ou estava por demais confiante de que o agarrara pela gravata... e voltará a surgir na delegacia da polícia, quase arrastada pelos novos polícias, ex-refratários e ex-resistentes, que também a reconheceram como a rapariga do célebre banho do lago e, molestando-a, traziam-na para a esquadra.
E, perante Loriot e Suzanne, que interpelava Antoine: “Afinal quem é esta moça?”
Este respondeu: "Deixem-na! Ela está comigo!”
E assim se deu mote ao: “Adeus Suzanne!”
E faltou-nos falar sobre Rita e Ezechiel que foram viver juntos na casa deste.
Sobre David que adoeceu e sem remédios nem médico, que Larcher estava ainda no tribunal, por sugestão de Sophie, oraram convictamente.
E Daniel melhorou.
E Ezechiel fala em ir para a Palestina e incita, convida, Rita a acompanhá-los, que poderiam formar uma família.
E vai ao mercado negro obter comida, umas fatias de presunto, obtidas a troco do seu relógio antigo.
Mas, antes dele chegar, quem chegou foi o indesejado (?) Marchetti.
E perante a chegada de Ezechiel, Rita recambiou-o para o sótão.
Episódio 9 – “Le crépuscule avant la nuit” – “O Crepúsculo antes da Noite”
Setembro de 1944
Adeus Suzanne!
Volto ainda a estes dois episódios e bem gostaria de explanar também algo sobre o episódio 10, agora que a sexta temporada está quase a findar e não sei se irão dar continuidade com a sétima, que nem sei sequer se já foi apresentada em França, de momento tão assoberbada com o “Euro”, futebol, realce-se.
Na primeira abordagem a estes dois posts, muitíssimos assuntos ficaram por tratar.
Centrei-me fundamentalmente no personagem Jules Bériot, e nas suas funções de Prefeito da Cidade e muitos temas ficaram em “banho-maria”.
Um dos problemas com que Villeneuve se defrontava, desde o começo da guerra e da ocupação, situação aliás comum a toda a Europa, no período entre as duas guerras, acentuado após a “Grande Depressão”, era o abastecimento alimentar. Faltavam víveres para a população civil, os mais imprescindíveis e básicos, como seja o leite para as crianças.
Bériot, na sua atribuição de funções logísticas da Cidade aos diversos Resistentes, designara Edmond, presidente do CDL, como supervisor dessa atividade e do respetivo departamento.
Na apresentação exemplificativa deste problema e flagelo social, os guionistas apresentaram-no através da personagem Rita de Witte e do seu filho David.
Desesperada por encontrar comida, leite, alimento para a criança, Rita dirigiu-se ao setor do suposto abastecimento de víveres à população de Villeneuve.
As prateleiras estavam praticamente, não me lembro se na totalidade, vazias.
As possíveis caves, não sei, que não nos mostraram!
Foi, no mínimo, dramática a resposta que obteve.
Que foi nenhuma. Saiu como entrou, isto é, de mãos vazias e o menino ao colo, amortecido de fome.
Que voltasse no dia seguinte ou no outro, que não havia alimento, que havia necessidade de preencher um formulário de adesão e que ela, enquanto estrangeira e judia, não estava entre os considerados prioritários, como se a fome e a necessidade de alimento variasse conforme a cor, a origem, o credo ou supostamente outra qualquer questão ideológica, perspetiva ainda mais grave!
Tempos tremendos, erros continuados da Humanidade, (humanidade?), melhor dizendo, Desumanidade, que gastava os recursos numa guerra atroz, estúpida, promovida por tresloucados, destruindo-se e destruindo bens, serviços, canalizados para o tão propalado “esforço de guerra”!!!
Mais grave, é que não tenha havido emenda!
Deixemo-nos de filosofias e de ideologias, que como Rita respondeu a Edmond: “Dê-me leite e adiro imediatamente!”
Mas adere a quê?!
(...)
E, na sua busca por alimento, como boa mãe que é, encontraria Ezechiel Cohen, com a filha Sophie, na mesma demanda.
E questionando-a como ali chegou e, no fundo, se salvou, pois sabemos o que aconteceu aos judeus, não sabemos se eles, à data, já o saberiam, mas Cohen agradecia a Deus, por estar vivo!
E, paradoxalmente, também a Jean Marchetti, (pasme-se!), o “carniceiro de Villeneuve”, que propositadamente deixou fugir Ezechiel e a filha, que até lhes falou também de Deus e lhes deu conselhos sob a forma de irem para a Suíça!
Estranho, ou não, este comportamento desse personagem tão contraditório, espelho do ser humano!
Contando isto para Rita, como nós sabemos ex-amante de Jean, pai do seu filho David; Cohen, referiu-se a milagre. E, mais uma vez, a intervenção Divina!
“Acreditaria em Deus, se chovesse leite”, lhe retorquiu Rita.
E Rita se quedou numa qualquer soleira de porta, na semi obscuridade ou claridade da rua.
De onde sairia para subir uma escadaria, de uma rua qualquer da Amargura e ganhar a vida, em troco de um favor, no desempenho de profissão tão velha quanto o mundo, para comprar leite e salvar o filho da Morte!
Outros dos personagens marcantes nesta 6ª temporada e nestes episódios têm sido os milicianos. Presos na Escola, apreensivos quando ao seu futuro, que julgados em conselho de guerra, em tempo da dita, seria fácil inferir o veredicto.
As reações face a esse futuro incerto, mas certo, variavam. Um debochava sobre o que fizera. Alban, extremamente culpabilizado, queria confessar-se. E interrogava-se como Deus os abandonara. Estranhos são os desígnios e invocações divinas, nestes momentos!
“Faço parte dos que mataram!”
Alban precisou de se aliviar e para isso foi acompanhado por Antoine.
Lembraram-se um ao outro o que haviam visto.
Antoine presenciou o infanticídio dos dois irmãos, filhos de Vernet, cometido pelo miliciano.
Alban viu Antoine e Suzanne, escondidos no armário, no quarto da filha desta, mas não os denunciou.
(Julgo, não tenho a certeza, que Alban fora também refratário, como Antoine...)
E enquanto Alban se aliviava no mictório, apareceu-lhe a irmã, assomando-se numa janela, a falar-lhe da avó. (...)
Falamos desta personagem, cujo nome ainda não fixei, que virá a ganhar algum protagonismo nos episódios subsequentes...
E já que falámos de Antoine, não esquecemos Suzanne, também nomeada Juíza.
De Kervern ficaria assombrado!
E, sem sombra de dúvidas, a mulher tenta conquistar o jovem. Que lhe resiste e escapa como enguia.
E prossegue o julgamento, a farsa de julgamento, pleno de contradições, formais, processuais e reais.
Daniel Larcher, naquele contexto de tribunal, a figura com mais formação intelectual, dá a volta ao texto, como se diz. Dá um baile ao procurador e aos juízes.
No meu ponto de vista, que nesta série não consigo ser nada isento; digo, segundo a minha perspetiva, sem razão alguma. Simplesmente manipulação, tão peculiar na advocacia.
Porque, o que acha?!
Nomeadamente no referente a Blanchon, chefe das milícias, haveria alguma dúvida?!
(...)
E retornamos aos milicianos e a Alban, que extremamente tenso e sofrido, (que só me lembra Ronaldo, ansioso por marcar golo), acabaria por confessar-se.
E lá lhe saiu a confissão.
E o perdão.
“O seu sofrimento e confissão abrem-lhe a porta para o perdão”! Lhe disse o confessor.
E abro aqui mais um dos meus parêntesis. Mais uma das minhas questões.
Não vi todos os episódios, mas só agora me apercebo da presença de um ministro da Igreja.
Será impressão minha? Falta de espírito de observação? Ou, realmente é a primeira vez que tal sucede?
Aliás, entre os diversos personagens mencionados não há qualquer referência a sacerdote.
Não será estranho este facto?!
(...)
Houve, contudo, cenas ocorridas na igreja da cidade, local de encontro de Resistentes, a combinarem ações, atividades, sinal de que o templo era um local onde os oposicionistas à ocupação se sentiam seguros.
E lembramos que também decorria o baile.
E nele, já falámos, (ou não?) dos enlaces entre francesas e americanos e não resisto a referir a hesitação e perplexidade do secretário de Bériot, em arranjar também mulher para um militar negro! (Que, aliás, protagonizou enorme sucesso, pois era um excelente dançarino!)
E Ezechiel também deu a volta a Rita e com ela também volteou na bailação!
Ao lado, que tudo se passava na Escola, os condenados à execução, os milicianos, escutavam.
E chegariam alguns elementos da “purga”, que assolava a Cidade, ainda sem polícia.
E o filho de Marie Germain desancou forte e feio. (Pudera!)
Antoine e Suzanne bebiam. Ela fumava!
Viu a prima do marido e num ápice se lhe atirou desvairada. Lembremos, eu próprio assim julgava, que era suposto ter sido essa mulher quem denunciara Antoine e Suzanne.
Loriot, já assumidas as suas funções policiais, interveio, esclarecendo que não fora ela a denunciadora, mas uma outra vizinha e que Suzanne poderia confirmar no registo efetuado na Polícia.
Suzanne pediu desculpa e aproveitando a presença do marido, apanhou a deixa para ir à respetiva casa, a visitar a filha.
Azar o dela.
Antoine, já mais liberto, que o vinho bebido diretamente da garrafa ajudava, dirigiu-se à rapariga que o intrigava e atraía, que achava conhecer, lembrando-se de onde. Da célebre cena das duas francesas a nadarem no lago com soldados alemães.
Não a denunciou, que seduzido já estava, e também dançaram o swing. E também dançariam na cama, finalmente concretizando o almejado final, que não alcançara com Suzanne.
Episódio 9 – “Le crépuscule avant la nuit” – “O Crepúsculo antes da Noite”
Setembro de 1944
Um Prefeito não perfeito!
Após a rendição dos milicianos e a impossibilidade de os transportar para Besançon para o respetivo julgamento, Jules Bériot organiza o processo, para que o julgamento ocorra em Villeneuve, instalando um Tribunal Marcial na Escola.
(Já vimos que a Escola dá para tudo: centro de acolhimento, prisão, hospital, tribunal... E os Professores e Professoras também.)
Veja-se precisamente o caso de Jules Bériot.
Recentemente regressado de Argel, empossado como representante da França Livre na Cidade de Villeneuve, na qualidade de Prefeito, ex-Professor e ex-Diretor da Escola e com aspirações a Presidente da Câmara, organiza o processo dos catorze milicianos, que, no último ano de ocupação alemã, aterrorizaram a Cidade, rivalizando com os boches, sob cujas ordens serviam.
Apesar de assoberbado com imenso trabalho, desde a estruturação da orgânica funcional dos vários serviços que é preciso reinstalar, da falta de pessoal habilitado e de confiança, da escassez de recursos, da penúria e racionamento dos alimentos, apesar de todas estas e outras dificuldades...procura estruturar o processo dos milicianos, segundo as normas de equidade na aplicação da Justiça.
Nomeia três juízes: Anselme, Antoine, Suzanne; um procurador, Edmond e um advogado de defesa: Daniel Larcher.
Seria interessante abordar como se chegou à constituição deste tribunal improvisado.
Não deixo de realçar que conseguiu convencer o médico a ser advogado dos milicianos, mas teve que dar contrapartidas. Teve que negociar, ceder para ganhar algo em troca. Comprometeu-se a que houvesse alguma benevolência no futuro julgamento de Hortense!
E é assim que vai ser a sua ação, enquanto prefeito. Negociar. Para ganhar alguma coisa também vai ter que ceder e de algum modo, perder alguma da sua coerência.
Irá acontecer algo idêntico com Raymond Schwartz e a respetiva Jeannine que se acoitou na serração.
Acontecerá algo semelhante com Loriot, que irá nomear como chefe da Polícia, “malgré tout”!
Ainda assim arranja tempo para organizar o “Baile da Libertação”. Que toda a gente anseia por uma bailação de que estavam privados há quatro anos.
Acompanhado de bom vinho, diretamente das caves do ex-subprefeito Servier, que importa se foi oferta “generosa” dos ex-amigos(?) alemães. (Amigos de Servier, frise-se.)
Vinho é vinho. É generoso e alegra os corações. E não pede muito. Apenas que o bebam! E, depois, ele faz o resto...
(E com esta escrita já vou no baile e ainda quero falar do processo...)
Relativamente ao mesmo, que Bériot procura previamente estruturar com toda a Justiça, como vimos, ficaremos surpreendidos com a ordem peremptória que o atual prefeito recebeu diretamente dos seus superiores de Dijon, via telefone.
“...
Quero os catorze milicianos à frente de um pelotão de fuzilamento, amanhã!”
Não sei quem foi o autor de tal ordem, mas é Alguém com Poder!
Que ainda estavam em guerra, e que os milicianos e boches, nas cidades onde ainda não houvera a Libertação, continuavam a matar. E era preciso transmitir-lhes uma mensagem clara.
E Bériot acatou totalmente a ordem.
E tratou de convencer os três juízes de que o veredicto do tribunal teria que ser “culpados”!
Anselme convenceu-se facilmente, entendeu completamente a situação face ao que fora o modo de atuar e fazer dos milicianos. No fundo, seria pagar-lhes com a mesma moeda.
Suzanne foi bastante mais renitente, mas aceitou.
Antoine foi ainda mais difícil de convencer, é um jovem cheio de ideais, mas face à decisão de Suzanne e, “para não a deixar sozinha”, também concordou.
Parafraseando um dito célebre: “O Juiz decidiu, está decidido!”
Decidido não está, que o julgamento ainda não aconteceu, mas Bériot já foi encomendar a madeira para os caixões à serração de Schwartz.
E foi aí que teve que negociar com o industrial, depois de lhe dar os parabéns pela sua ação na Resistência no último ano. Mas também teve que se comprometer a ser também benevolente com a “chata”, colaboracionista e fascista da Jeannine.
E arranjar gasolina, que os títulos provisórios da República, provisória e Livre, não serviam de nada.
E gasolina só os americanos.
E, com estes, Bériot voltou a negociar, mas também acatou ordens! E até ouviu reprimenda do comandante americano Bridgewater. Jules e os franceses são, continuam a ser, intermediários.
Aquele quer ordem na cidade. (Bériot não tem polícia e há grupos armados a fazerem baderna.)
Ainda estão em guerra, os americanos todos os dias perdem homens. Bériot tem que criar uma autoridade na Cidade.
E foi também nesse propósito, que teve que negociar com Loriot!
De negociação em negociação e no respeitante ao “processo” ficou este totalmente inquinado, logo à partida. Processo com julgamento falseado e veredicto combinado e já definido: culpados. Com execução marcada para o dia seguinte até às treze horas!
Que acham os senhores leitores e leitoras?!
Era possível, naquele contexto e enquadramento, aplicar adequadamente a Justiça?
Era necessário agir daquele modo?
Haveria ou não outro modo de atuar?!
...?!
Apesar de todo o assoberbamento com o trabalho, ainda assim, Bériot teve tempo e paciência para organizar e participar no “Baile da Libertação”, embora não dançando, que a sua Lucienne não baila com o prefeito, pois está retida no apoio ao seu amado Kurt, com quem dançou em anterior e distante baile, agora também impossível de repetir, que o jovem está amarrado à cama. E transfigurado pelas queimaduras.
Mas Jules bebeu e bebeu bem, de bom vinho, talvez de alguma cave vinícola francesa que os ocupantes alemães terão assaltado, quando invadiram a França.
E recebeu aplausos e loas dos circunstantes no baile, sempre acolitado pelo secretário, trazido da Argélia.
E também e ainda, apesar do vinho, ou talvez por isso, e após o puxão de orelhas do comandante americano, teve a lucidez de ordenar ao secretário que arranjasse uma mulher para o americano adjunto do comandante.
E interessante foi a forma como esse arranjinho foi arranjado e como o secretário trocou as voltas à moça francesa, para que ela caísse nos braços do americano, fazendo trocadilhos entre o francês da rapariga e o inglês do militar.
Mas, nesta narração vou deixar o baile, retomar o fio à meada relativamente a Bériot, representante da República, da França Livre e como se desenvolvia a sua atuação, naqueles tempos conturbados de reinício da “vida democrática” em França.
E bebido e bem bebido, regressou a casa, na ilusão de que teria Lucienne, ainda sua esposa, de braços abertos, desejando-o.
Desengane-se, caro leitor, Lucienne nunca o desejou.
(E, frise-se, continuam, passado este tempo todo, ainda a tratar-se por você.
Nem depois das lições de Madame Berthe mudaram tal atitude!)
E face ao não desejo da mulher e não vamos conjeturar mais razões, que não sabemos, dirigiu-se ao quarto onde dormia Kurt.
Sem dúvidas e talvez dando cumprimento ao pedido formulado pelo ferido, “de morte assistida”, pegou numa travesseira e com ela sufocou o moço. Sem mais nem menos!
O dito cujo ter-se-á arrependido do pedido efetuado, porque se fartou de esbracejar. Mas Bériot concluiu a sua tarefa.
Impressionante aquele arfar do rapaz e, morto, a boca aberta e os olhos arregalados.
Jules teve o discernimento de lha fechar e cerrar-lhe os olhos, que, por momentos, pensei que iria esquecer-se.
Assim, nessa pose, a Morte parecia mais justa, mais serena! Talvez imprescindível!
E é, deste modo, que a República se reergue em Villeneuve, através deste seu lídimo representante.
E também foi assim que terminou o nono episódio, cujo tema central da narrativa foi o célebre e desejado baile, a que, talvez, ainda volte nesta minha narração tão parcelar. E parcial!
Intitulado “O crepúsculo antes da noite”. Significante do que virá a seguir?
Após um processo e julgamento falseados, uma execução arbitrária e aleatória?!
E tanto que fica por contar e como se poderia extravasar para a atualidade.
Para a política... para o futebol, que o “Europeu” até se joga em França!
Tanta coisa...!
Ah! E lembrar que Bériot, nesta sua atitude conciliatória e negocial, ainda teve oportunidade de salvar Servier de ser linchado pela turbamulta!
5ª Temporada – 1943 - “Choisir la Résistence” – “Escolher a Resistência”
A ação decorreu em 1943, durante os meses de Setembro, Outubro e Novembro.
.Episódios:
Travail obligatoire - (23 septembre 1943) – “Trabalho Obrigatório”
Le jour des alliances - (24 septembre 1943) – “O tempo/ o momento das alianças”
Naissance d'un chef - (25 septembre 1943) – “Nascimento de um chefe”
La répétition - (25 octobre 1943) – “A repetição”
L'arrestation - (26 octobre 1943) – A captura / A detenção
Le déménagement - (27 octobre 1943) – O despejo / A mudança de casa (?)
La livraison - (8 novembre 1943) - A entrega /A entrega ao domicílio (?)
Les trois coups - (9 novembre 1943) – Os três golpes/pancadas/tiros (?)
Un acte de naissance - (10 novembre 1943) – “Uma Certidão de Nascimento”
L'Alsace et la Lorraine - (11 novembre 1943) – “A Alsácia e a Lorena”
Le jour d'après - (12 novembre 1943) – "O dia seguinte" (?)
Un sens au monde - (13 novembre 1943) - “Um sentido para o mundo”
Desenvolvimento:
Terminou a 5ª Temporada, cujo título era “Escolher a Resistência”. Porque essa foi a temática global do enredo: a escolha do caminho, da opção de resistência e luta face ao invasor alemão.
De uma forma mais ou menos organizada, maior ou menor empenhamento, foi essa a atitude de cada vez mais personagens, para além dos que se foram constituindo como resistentes, logo desde o início. Muitos ficaram pelo caminho, muitos sofreram torturas e opróbios. (...)
Outros, cada vez menos, permaneceram indefetíveis no apoio e colaboração com os ocupantes... e, supostamente, em obediência ao governo de Vichy.
Também com 12 episódios, desde a Libertação de Paris, ocorrida a 25 de Agosto de 1944, até à Libertação de Villeneuve, ocorrida em Setembro, também de 1944, mas sem um dia específico, pois, como sabemos, a cidade é fictícia, e por isso os guionistas não sabem uma data exata sobre a respetiva libertação. (!)
Apresento a listagem e títulos dos episódios, um brevíssimo resumo do conteúdo de cada um deles, “traduzido” por mim.
Espero que ajude para quem queira ficar com uma breve ideia sobre a temática de cada um deles.
Anexei também este link original, em francês, para quem se possa aventurar nesse campo melhor que eu.
EPISÓDIOS
Episódio 1 - "Paris libéré" – Paris Libertada
Episódio 2 - "Le pont" – A Ponte
Episódio 3 - "La corde" – A Corda
Episódio 4 - "Sur le quai" – No Cais / Na Gare
Episódio 5 - "L'homme sans nom" – O Homem sem Nome
Episódio 6 - "Le groupe" – O Grupo
Episódio 7 - "Une explosion" – A Explosão
Episódio 8 - "Le procès" – O Processo
Episódio 9 - "Le crépuscule avant la nuit" – O Crepúsculo antes da Noite
Episódio 10 - "La loi du désir" – A Lei do Desejo
Episódio 11- "Arrestations" – Detenções
Episódio 12 – "Libération" - Libertação
Episódio 1 – “Paris libéré” – Paris Libertada
25 de Agosto de 1944
O General De Gaulle anuncia, na rádio, a Libertação de Paris.
Villeneuve vive as suas últimas horas sob a “Ocupação”. (...)
Episódio 2 – “Le pont” – A Ponte
26 de Agosto de 1944
Hortense e Heinrich prosseguem o seu caminho em direção à Suíça, enquanto Suzanne e Antoine são ativamente procurados pelas autoridades. (…)
Episódio 3 – “La corde” – A Corda
27 de Agosto de 1944
Jean Marchetti e o sub-prefeito, Servier, contam aproveitar-se da prisão de Antoine e Suzanne, para negociarem, algumas garantias de proteção, com os Resistentes e o C.D.L. (…)
Episódio 4 - "Sur le quai" – No Cais / Na Gare
28 de Agosto de1944
Na estação de caminho de ferro, Jean Marchetti, os milicianos e as suas famílias, aguardam o comboio que os deverá levar para longe de Villeneuve. (…)
Episódio 5 – “L'homme sans nom” – O Homem sem Nome
28 de Agosto de 1944
Agora, nas mãos dos americanos, Heinrich e Hortense são separados. (…)
Episódio 6 – “Le groupe” – O Grupo
29 de Agosto 1944
Daniel, ajudado por Lucienne, cuida dos feridos da unidade alemã, refugiada na Escola, a fim de se salvar bem como Gustave. (…)
Episódio 7 – “Une explosion” – Uma Explosão
Setembro de 1944
Os alemães deixaram Villeneuve, mas um grupo de milicianos retem ainda reféns na Escola. (…)
Episódio 8 – " Le procès " – O Processo
Setembro de 1944
Após a rendição dos milicianos e perante a impossibilidade de os transportar para Besançon, para o respetivo julgamento, Bériot decide instalar um tribunal marcial na Escola de Villeneuve. (…)
Episódio 9 – “Le crépuscule avant la nuit” – O Crepúsculo antes da Noite
Setembro de 1944
No decurso do grande baile comemorativo da Libertação , Villeneuve canta, dança e liberta as suas pulsões. (…)
Episódio 10 – “La loi du désir” – A Lei do Desejo
Setembro de 1944
Dez milicianos são executados, no fim de um processo falseado. Bériot propõe a Antoine, que encetou uma relação com a irmã de um miliciano, de se tornar chefe da polícia. (…)
Episódio 11- “Arrestations” – Detenções
Setembro de 1944
Enquanto que Jean se esconde permanentemente em casa de Rita, os problemas do quotidiano se agravam : Abastecimento, saúde, alojamento… É a penúria. (…)
Episódio 12 – "Libération" – Libertação
Setembro de 1944
Daniel e Hortense, sós e vilipendiados pela multidão, (turbamulta), apressam-se a deixar a cidade.
Antoine prendeu Marchetti. Bériot pede-lhe para o transferir secretamente para Dijon, mas a notícia espalha-se como um rastilho de pólvora.
Em breve, Antoine, Suzanne, Marchetti, Daniel e Hortense vão enfrentar o seu Destino…
*******
Epílogo :
Este post estrutura, de forma muitíssimo sintética, alguns dos tópicos dos episódios futuros.
É um convite à visualização desta nova temporada, para conhecermos o desenrolar da vida em Villeneuve, após a Libertação.
E o evoluir dos Personagens nesse novo contexto.
Apetecia-me tecer já alguns comentários. Mas prefiro guardá-los para quando visualizar algum episódio...
Na passada 6ª feira, três de Junho, ocorreu a finalização da 5ª Temporada da Série, cuja ação decorreu em 1943, em dias específicos dos meses de Setembro, Outubro e Novembro.
O 12º episódio, quadragésimo oitavo global, retrata os acontecimentos do dia 13 de Novembro, dois dias após o célebre desfile dos Resistentes na cidade fictícia de Villeneuve, representação do que realmente aconteceu na cidade real de Oyonnax, nessa mesma data, em 11 de Novembro de 1943.
E, para finalização de temporada e de ciclo de representação, apresenta um título, por demais sugestivo: “Um sentido para o Mundo”.
(Lembro que a temporada seguinte, a sexta, a iniciar-se, em princípio, na próxima 2ª feira, 6 de Junho, relembrará os acontecimentos ocorridos após a Libertação de Paris, em 25 de Agosto de 1944.
Retratará ocorrências posteriores de quase um ano e num contexto completamente diferente: pós ocupação e “Libertação”. Trazendo outras problemáticas igualmente pertinentes.)
É pois adequado o título para este último episódio : a busca de um sentido para o Mundo.
E esse sentido, ou essa busca de sentido, é nos dado pelas falas da peça teatral de « As Muralhas » ( ?), encenada por Claude e por ele representada, mais os três colegas refratários, que temeram a subida do penhasco para a Liberdade e aguardam a chegada dos nazis, à gruta toda iluminada, para essa primeira e derradeira representação.
Os boches chegaram, prontos a intervir, mas pararam, às ordens de Muller, atento ao que presenciava. Os alemães, ali, os únicos espetadores daquele original espetáculo.
Interessante seria relembrar todos os diálogos, mas fica a última fala, que responde ao título do episódio.
« …
Que apenas o AMOR dá sentido ao MUNDO ! »
E neste tema universal, temporal e espacialmente, continuamos.
Comovente a cena do enterramento de Marcel, fuzilado às mãos dos soldados boches, sob supervisão de Muller e do comandante das tropas nazis.
O corpo, excecionalmente não foi para vala comum, foi entregue a Daniel, que o compôs o melhor que pôde para o enterro.
Com Suzanne, amada de Marcel, o médico discutiu os pormenores do funeral.
Com ou sem padre, em jazigo de família ou campa térrea, como ele quereria...
Prevaleceu, sensatamente, a opinião da Mulher, e Marcel foi enterrado no jardim, em campa rasa, em simples caixão de madeira, “ao ar livre, com os pássaros, a terra” e sem acompanhamento religioso.
A acompanhá-lo, só e apenas, três personagens marcantes na sua Vida!
Daniel, o irmão mais velho, Amor Fraternal, simbolicamente apanha um punhado de terra, Terra-Mãe, atirando-a sobre o caixão.
Gustave, o filho, Amor Filial, trouxe-lhe um ramo singelo de flores campestres, que espontaneamente lançou sobre o féretro do pai. Com elas o ar, as aves e a liberdade que lhes assiste.
Suzanne, comovida, lançou-lhe a sua aliança de ouro, metal puro, precioso e eterno, que ele trouxera como penhor ao pescoço, prova do seu Amor, nos tempos em que estiveram ausentes.
E, deste modo, se cumpriu o Destino de um personagem que, simbólica e idealmente, lutou por causas em que acreditava de forma altruísta, apesar de todas as contrariedades e contradições inerentes às mesmas e seus protagonistas.
E ainda de Amor falamos, que, nesta série, é um tema transversal a toda a narrativa.
Muller assistiu e supervisionou os fuzilamentos de Marcel e Chassagne. (Se não estranho, pelo menos peculiar este acoplamento destes dois personagens neste final trágico!)
Os sentenciados à morte têm direito à satisfação de um último desejo e o do ex-presidente foi fumar um cigarro turco, que compartilhou com Marcel.
Este pediu para lhe entregarem uma mensagem ao filho, recebida por Muller.
O Resistente quase chorava, lembrando-se de quando criança, em miúdo, das suas diatribes e de como o irmão, Daniel, lhas escondia ao pai, e pagava pelos seus erros.
Soçobraria aos tiros dos soldados nazis, lembrando o pai a sovar o irmão com um cinto, por uma patifaria sua.
Teve, melhor, tiveram os dois fuzilados, ainda, “direito” a um derradeiro tiro na nuca, por via das dúvidas!
Mas, dir-me-ão...
Que falávamos de Amor... E agora, neste excerto, de que falámos, foi de Morte!
Muller, portador do bilhete de Marcel, dirigiu-se a casa de Hortense, em busca de Gustave, que estava a fazer os trabalhos de casa, “os deveres”.
“O teu pai morreu. Foi fuzilado há pouco. Foi muito corajoso. Era um grande combatente!
Ele deu-me uma mensagem para ti, justamente antes.” E deu-lhe o papel já meio amarrotado.
A criança desdobrou-o e tê-lo-á lido.
Nós também lemos.
“Amo-te.
Sê um Homem!”
E falamos também e então de Amor: Paternal!
E falaremos novamente e ainda de Amor, se falarmos de Lucienne, de Bériot, de Marguerite. Num triângulo em que Lucienne será o vértice!
Mas não vamos falar muito, porque não vi nem o episódio décimo nem o décimo primeiro, mas deduzo que a ação das duas mulheres terá sido determinante para a execução do desfile.
Marguerite foi presa e foi com ela na prisão e o interrogatório escabroso de Marchetti, que o episódio se iniciou, no habitual introito.
Pressionada de forma ignóbil, como Marchetti sabe fazer, acabaria por ceder e denunciar o local de acoitamento dos Resistentes.
Por isso pagaria também. Mas às mãos de Vernet, polícia, mas também Resistente, que em tempos de guerra a justiça faz-se pelas próprias mãos e não há mãos a medir para tanta morte.
Amor e Morte sempre presentes! Que no Amor sempre se morre um pouco também.
E Lucienne foi cúmplice por omissão nessa mesma morte. Morte de Amor?!
A intervenção na disputa salomónica, entre duas meninas no recreio, sobre a posse de uma boneca, foi apenas o pretexto para desviar o olhar, deixando que a execução ocorresse.
E da execução desse personagem execrável, investido em presidente da câmara, às ordens dos nazis, de nome Philippe Chassagne, já falámos. Terá sido entregue ao pelotão de fuzilamento, porque um puré de batata terá sido indigesto a Muller... personagem psicopata, paradigma simbólico dos dirigentes nazis.
De entre os dirigentes franceses, colaboracionistas, das nojices de Marchetti, também já referimos.
Servier, continua nas suas sabujices e servilismo, mas também de aprendizado político, que a esposa lhe ensina, à mesa do restaurante, de pratos escondidos debaixo da ementa, que os tempos são de fome e escassez de bens, com realce para os alimentares.
E estes personagens irão ser sentenciados após a Libertação?
Pagarão eles pelos seus crimes?!
Ou serão “inocentados”, como tantas vezes acontece?!
E os Resistentes corajosos, Antoine, Anselme, e os seus correligionários, que conseguiram escalar o penhasco, conseguirão escapar?!
L'arrestation(26 octobre 1943) – A captura / A detenção
Le déménagement(27 octobre 1943) – O despejo / A mudança de casa (?)
La livraison(8 novembre 1943) - A entrega /A entrega ao domicílio (?)
Les trois coups(9 novembre 1943) – Os três golpes/pancadas/tiros (?)
Un acte de naissance(10 novembre 1943) – Um ato de nascimento / Uma escritura de nascimento (?)
L'Alsace et la Lorraine(11 novembre 1943) – “A Alsácia e a Lorena”
Le jour d'après(12 novembre 1943) – O dia seguinte (?)
Un sens au monde(13 novembre 1943) Um sentido para o mundo (?)
DESENVOLVIMENTO:
Episódio 9
“Un acte de naissance” – “Certidão de nascimento”
10 Novembro de 1943
Transmitiram ontem, 31 de Maio, 3ª feira, o episódio 9 desta 5ª temporada, de que relembro, no Prólogo, os títulos dos vários episódios, conforme apresentei quando ela se iniciou, realçando os que consegui visualizar, e os três que ainda faltam, concluindo-se a totalidade, em princípio, nesta semana.
“Certidão de nascimento”, documento imprescindível de que Eliane precisava para se casar com Jean Marchetti.
Fora-lhe prometida a respetiva devolução por Monsieur Raymond Schwartz, que com ela ficara, certamente no ato de a admitir como empregada na fábrica de serração, mas que nunca a devolvera, tantos os acontecimentos e a celeridade da sua ocorrência.
Em má hora conseguiu recuperá-la na fábrica abandonada. Raymond também já participa na Resistência e a segunda mulher Joséphine está morta e enterrada, que ele até já ressuscitou com o velho, mas sempre renovado amor, Marie!
E logo Raymond haveria de voltar nessa hora, juntamente com Antoine, para levarem os camiões para a ação que planeiam para o dia seguinte, 11 de Novembro.
Eliane obteve a certidão, mas não o casamento almejado. Morreu nos braços de Marchetti, seu prometido noivo, mas não Amor, que eles não se amavam, era um casamento de conveniência. Alvejada às mãos do Destino, que a fez morrer de bala disparada por Antoine.
Marchetti amparou-a nos últimos suspiros, tendo ela direito a visão de estrelas!
E este poderá ser o começo desta narração, com que o guionista findou a narrativa original do nono episódio.
Que o começo foram cenas de Daniel e Marcel, na cadeia. Feridos, partidos, esfolados vivos, enjaulados, à mercê dos torturadores boches.
Os dois irmãos mais uma vez unidos numa mesma Causa: Presos, mas em luta pela Liberdade dos Outros. Compartilhando infortúnios, num mesmo espaço e tempo, a que chegaram, ainda que por caminhos diversos.
Marcel preso pelas razões que já sabemos, que vinha sendo perseguido há anos, ainda antes do começo da guerra. Que até a mãe de Hortense, quando esta lhe telefonou e disse que Marcel iria ser fuzilado, lhe respondeu “que já não era sem tempo”!
Daniel foi preso, porque escondia uma judia, como sabemos: Sarah Meyer.
E neste campo de desgraça ainda assim têm tempo para se confrontarem nas suas trivialidades/rivalidades fraternais.
Que Daniel, mais velho, sempre se considerou pai substituto de Marcel. E censura-o por ele não ter comunicado com o filho, Gustave, há mais de um ano, que o miúdo já nem pergunta por ele.
Marcel não gosta dessas lições de paternidade e lhe devolve sobre as falcatruas na adoção de Tequiero e as mentiras relativamente ao verdadeiro pai, o espanhol Alberto Rodriguez, entretanto também fuzilado.
Caso para se dizer que não terá sido má a adoção da criança, bem pelo contrário.
Pelo menos teve pai e mãe, ainda que Hortense fosse mãe ausente, mãe apenas uma vez em cada seis meses, como lhe disse Daniel. Mas este desempenhou os dois papéis e também teve a ajuda de Sarah, esta mais numa de irmã mais velha, que ela é muito jovem.
E esta discussão entre irmãos, à beira do pelotão de fuzilamento, é interrompida com a chegada de soldados alemães para levarem Daniel para nova sessão de tortura.
De que voltaria derreado de pancada, por um brutamontes da SD, mas não tendo falado, nem denunciado sobre o paradeiro dos Resistentes.
E já que falamos dos Resistentes, e antes de abordarmos mais sobre o médico, informamos, sem denunciarmos, que eles estão mais ou menos acoitados numa floresta recôndita nas montanhas, provavelmente do Jura, ou dos Alpes, que não sei.
Um grupo, já bastante grande, heterogéneo, que Antoine comanda, coadjuvado por Claude, que os ensaia em cenas da peça “As Muralhas”. (Baseada em “Hamlet”, de Shakespeare?)
Como par amoroso, Antoine e Marie! Cheios de constrangimentos, mais pela pouca experiência do chefe, em cenas de beijo teatral.
Maior e total o constrangimento, após Antoine ter presenciado Raymond, o ex-cunhado, em cena de sexo real com Marie, sua ex-amante, e amada ainda que não declarada de Antoine.
Cena mais que suficiente para transmutar toda a peça a encenar.
Que por vontade de Antoine, ou não fora ele o chefe, mudou de possível espetáculo teatralizado para a realidade. Passaram a ensaiar sim, mas um desfile de tropas dos Resistentes, devidamente fardados, que se apresentariam publicamente, contra todas as previsões e afrontando todos os perigos, e contrariedades, na cidade de VIlleneuve, de modo a mostrarem a sua força perante a população, que assim ganharia mais confiança e ânimo na Resistência e na Liberdade que haverá de chegar. Cantando a Marselhesa, que estão pela “França Livre”.
E esta apresentação pública da força e coragem da Resistência, julgo que ocorrerá no próximo episódio, provavelmente o de hoje, dia 1 de Junho.
E face ao contraponto realidade - ficção, friso que a encenação prevista retrata ficcionalmente algo que aconteceu na realidade em 11 de Novembro de 1943, na cidade de Oyonnax e que os franceses ainda hoje comemoram.
E é sobre a preparação desse desfile que os resistentes concentram agora todas as suas energias, esforços, estratégias, envolvendo todos os que podem organizar-se nesse sentido.
E nesse fito comparticipa Marguerithe, envolvendo também, ainda que relutante e um pouco contrariada, a colega Lucienne, que não participa diretamente na Resistência, mas que neste caso, se vê na contingência da inevitabilidade da sua participação, dado que o marido, Jules, não está em Villeneuve. Além de que a função em que é necessária a respetiva colaboração se concretiza precisamente na Escola, onde funciona a estação de rádio alemã, que é preciso neutralizar no dia onze, antes do meio-dia.
Nesta fase da ocupação alemã, vários intervenientes, anteriormente colaboracionistas, já apoiam a Resistência.
Já falámos de Raymond.
A primeira mulher dele, Jeannine, atual esposa do atual presidente da câmara, também já é apoiante da “Causa”. Não vamos fazer comentários...
Apoia os resistentes com dinheiro, que é o que mais tem. E também com informações.
Conhecedora, pelo marido, de que havia um agente colaboracionista infiltrado entre a “Resistência”, de nome Galbier, vai disso informar um empregado do Café, designado Martin, que, como é natural, se faz de novas, mas regista a informação, pois houve resultados.
Mais tarde, o marido, Chassagne, dir-lhe-ia que Galbier fora morto com dois tiros na boca!
E ainda volto ao personagem Daniel. Para informar que ele foi libertado, precisamente pelo mais improvável personagem da série: Muller!
Na sequência deste ter estado na sua casa, aonde apareceu opulento, trajado a rigor, para visitar a sua amada Hortense, a fazer de ex-esposa dedicada, o ex-marido ausente, desconhecendo o seu paradeiro; e a cuidar do filho, Tequiero, e do sobrinho, Gustave, que fez de porteiro, franqueando-lhe a entrada.
Muller pediu-lhe desculpa, ele, o todo-poderoso SS. Almoçaram juntos, sopa, que Gustave sorvia fazendo barulho, incomodativo para o facínora, que, por momentos, temi que ele espetasse uma chapadona à criança!
E já pela noite, Tequiero a dormir, Gustave supostamente no quarto, Hortense preparou-se para amar!
Muller, inicialmente renitente, pelos condicionalismos envolventes, mas dada a persistência da amante, foi buscar mais morfina para se injetar!
E foi então que foi surpreendido por Gustave apontando-lhe uma arma!
E, por aqui me fico, neste “Dia Mundial da Criança”, com tantas crianças, ainda e passados setenta anos do findar da guerra, envolvidas e usadas e mortas e abusadas, e violentadas, em tantas guerras!
Relativamente a este 4º episódio, começo por referir que não o vi na totalidade, nem percebo o significado do título, talvez precisamente pela razão anterior.
Também fiquei surpreso pelo facto de, contrariamente ao que me apercebera no final do episódio três, Antoine e o seu grupo de refratários não aderiram à Resistência. Ignoro o porquê, pois pareciam bem encaminhados para tal.
Continuam em grupo, ainda maior, são cerca de vinte, vivem num acampamento bastante improvisado nas montanhas, são liderados por Antoine, coadjuvado por Claude, que continua a tentar empenhá-los através do teatro. Fazem exercício físico, bebem chá pela manhã, não sei o que comem ao almoço, se caçam ou não e tiveram uma visão do paraíso, na pessoa de uma Eva, nadando num lago próximo.
Eva, que não a Braun, mas também acompanhada por um boche, que afinal eram dois e elas também duas, mas francesas, que foram curtir a folga dos rapazes alemães para os ares da montanha, para não estarem sujeitos a olhares indiscretos, pois eles estavam proibidos de contatar com autóctones. Mas sabemos como são estas coisas de amores.
E afinal havia não só vários pares de olhos indiscretos, mas até um binóculo.
E ainda fica muito por contar...
E sobre discrição e indiscrição também relatamos que Hortense, por mais discreta que tivesse querido ser, acabou por ser presa pela polícia e levada para a câmara municipal.
E porquê?!
Munida de duas pistolas embrulhadas numa mala, sentada num carro, não sei de quem, se dela própria, trocou as ditas armas por um frasquinho de morfina, a uns traficantes, que, após a transação, lhe pediram para esperar cinco minutos antes de abalar. E ela esperou!
Isto é, deu tempo para que chegasse a polícia, lhe pedisse a documentação, a interrogasse sobre o que ela guardava na mão e a algemasse, com direito a sentar-se numa sala da câmara, que ela conheceria de outros tempos mais afortunados, mas agora estava ali como criminosa.
E o presidente, o novo, mas de ideias velhas, chegou.
E lhe disse que ela caíra numa esparrela trivial de traficantes e polícias, que, no final, dividem o lucro a meias. Graciosamente a libertou, lhe devolveu até o produto, a recomendou ao marido, que o favor que fazia era do atual presidente para a esposa do anterior. Tudo presidencial.
E que, quando quisesse mais daquela encomenda, se lhe dirigisse. Pelos vistos, deduzo que ele será o vértice de tal negócio.
Que nestas coisas de guerras e necessidades, há sempre quem se aproveite da desgraça alheia!
Que também ainda haveria mais que contar... Mas não deixo de referir que, quando ela voltou para junto do seu amante, a trabalhar no respetivo gabinete, o operador de câmara, não a municipal, certamente por ordem da realização, fez o favor de nos mostrar, evidenciando em grande plano, nem mais nem menos que a celebérrima bandeira da suástica!
Para que ficasse bem presente do que e de quem se tratava!
Para que nós, telespetadores não nos esquecêssemos, nem ignorássemos ao que Hortense ia e com quem ia.
Não sei se ela teria plena consciência desse significado!
E sempre de discrição se trata, se abordamos a forma ultra discreta como Jules Bériot e Marie Germain se reúnem, para tratarem de assuntos referentes à Resistência, no referente à fação (?) a que pertencem, a designada “França Livre”.
Encontraram-se na igreja. Bériot informou-a que o desejado “descarregamento” de armas saiu gorado, que os para-quedas não caíram no local certo, apesar do espaço devidamente assinalado com luzes.
Calharam-lhes umas quantas bíblias, por demais necessárias para as ações de guerrilha, certamente espiritual e caixas de bolachas. Deu-lhe uma bolachita e a moça não se fez de rogada, achou-a deliciosa.
Insistiu para que ela tentasse arregimentar os refratários, que os almejados apoios do exterior também dependem do número de aderentes.
Quanto aos Resistentes enquadrados no lado comunista, não temos sabido nada!
Quem também agiu com discrição, foi Lucienne que, ouvindo soluços do quarto de Marguerithe, com ela foi conversar e ambas desabafaram.
Não sabemos se a professora de Música foi totalmente sincera no que revelou, mas Lucienne confiou e, esta, sim, foi sincera e falou-lhe também dos seus amores passados, ignoramos se também futuros.
E sobre o futuro não sei. Nem vou especular, para não me enganar. Fico apenas por aqui!
E este episódio nº3 da 5ª temporada, episódio global nº 39, cuja ocorrência se reporta a 25 de Setembro de 1943, relata-nos precisamente a forma como emerge um chefe a partir, primeiro, do grupo desarmónico de jovens refratários e, no final, depreendemos essa chefia nascente, no próprio grupo de resistentes a que Antoine, convictamente, aderiu.
Quanto à estrutura narrativa confirma-se a metodologia já referenciada.
No prólogo, continua-se o final do episódio dois: Marie Germain e Antoine dialogam e articulam sobre a possível adesão de Antoine e eventualmente de outros refratários à Resistência. À “Causa” que os move: a “França Livre”!
No decurso do episódio esse é um assunto dominante, em diferentes contextos e envolvendo variadas personagens, e, no final, novamente Marie e Antoine, agora já aderente, analisam a situação. Situação que está um pouco aquém das expetativas de Antoine, que almejava haver mais ação. Marie explica-lhe que os “Movimentos Unidos de Resistência” pretendem criar um exército secreto, mas que não pode ser já. Não têm armas, não têm chefes, precisam de ajuda externa, que tarda, até porque a desejada invasão dos aliados não será ainda este ano. E os inimigos são fortes.
Antoine ter-lhe-á respondido qualquer coisa como: “Encontraremos armas e seremos fortes!”
E a temática da Resistência foi dominante na narrativa. As condições de vida dos Resistentes são muito precárias e enfrentam perigos de toda a ordem, em que se realça a perseguição que lhes é movida pelas próprias autoridades francesas, a “polícia de segurança”, encabeçada por Marchetti e os “gendarmes”; para além dos ocupantes alemães, “os boches”, tanto na pessoa dos SS, como do exército alemão.
A investigação ao assassinato do guarda alemão, acontecido no ano anterior, continuou. E, por dois mais dois, os colegas de Marchetti já sabem que ele foi o autor, e um deles deu-lhe isso a conhecer, na sua própria casa, na hora de jantar, já ele se preparava para a sobremesa, depois de uma deliciosa sopa de coisa quase nenhuma, que não havia nem azeite, nem toucinho.
Contrariamente, em casa do senhor presidente da câmara e da sua querida esposa, houve um lauto jantar de frango do campo, acompanhado de um, provavelmente delicioso, puré de batata. Mas que só e apenas sua excelência o senhor residente terá provado, que terá, pelo menos, lambido os beiços.
Para esse jantar foram convidados, excecionalmente, o SS Heinrich Muller e a sua concubina Hortense, que o presidente quer progredir na carreira política e para isso precisa do apoio alemão.
No decurso do jantar, o senhor presidente lá foi perorando sobre uns projetos mais ou menos estrambólicos que pretenderia concretizar em Villeneuve, sempre no pressuposto que os alemães vencerão a guerra e com eles, os franceses colaboracionistas e fascistas, como ele próprio, Philippe Chassagne. Ao mesmo tempo pretendia meter uma cunha a Muller, para um cargo ou função qualquer a que aspira.
Heinrich que, para além de alemão ocupante, boche, nazi, SS, morfinómano, louco, é igualmente inteligente, cada vez mais convicto de que a guerra será perdida pela Alemanha e farto daquele discurso irreal, não esteve com meias medidas. Depois de lhe fazer, ele também, uma prédica consistente sobre a inconsistência do puré, aproximando o rosto presidencial do mesmo, esborracha-lhe o focinho, que é o que Chassagne tem, no dito puré ainda não encetado. Sendo assim, apenas sua excelência presidencial, terá sido o único conviva que teve o prazer de saborear tão deliciosas batatas, adquiridas no mercado negro, e convertidas em puré.
Que o jantar se ficou por ali. E guerra é guerra!
Mas não ficaram por aí as bizarrias políticas de Philippe Chassagne.
Noutro provavelmente delicioso jantar, agora com o servil Servier e a sua amantíssima esposa, para além de Jeannine, já se vê, e o próprio Philippe Chassagne, continuou este com a explanação dos seus projetos futuristas, para que Servier interviesse junto dos ocupantes alemães, ele que tão bem sabe ser servil. (?!)
E é nisto que se entretêm as autoridades francesas colaboracionistas. Acomodadas na sua situação, aos pés dos ocupantes e servindo-os, servindo-se a si mesmas, renegam a sua condição de homens e franceses livres.
Organizassem-se eles para lutar contra o ocupante, e talvez essa ocupação tivesse sido menos aviltante!
Paralelamente, grupos de homens e mulheres, destaca-se na série o papel relevante de duas delas, com parcas condições, organizam-se e opõem-se à ocupação, com risco permanente das suas próprias vidas e de próximos e familiares.
Outros, mesmo não fazendo parte de nenhuma organização, caso do médico Daniel Larcher, diligenciam tudo o que podem para ajudar os seus semelhantes. Neste episódio, mais um judeu acolheu em casa, para além de Sara, mas esta é um caso diferente.
Trata-se de Ezechiel Cohen, que, entre outras situações observadas em episódios anteriores, foi ele o protagonista da célebre evasão da Escola, agora está ferido de bala, que foi de sua autoria o atentado falhado contra o atual presidente da câmara, ocorrido também na mesmíssima Escola.
Terá sido também ele o autor da encomenda de morte presidencial, que foi endereçada posteriormente, através de um modelo de caixão, em miniatura, muito bem trabalhado e envernizado?!